SITE OFFICIEL DE GROSAGRO consacré à CHARLIE SCHLINGO

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On connaissait Charlie Schlingo en personne.
On était amis. On se voyait tous très souvent.
Tous les jours, une fois.
Quand Charlie est mort
, plutot qu'être tristes, on s'est tous échangé des souvenirs pour rigoler Par La Grâce de son humour (une fois).
Et,
virgule, partant, virgule, voici:

 

Charlie Schlingo

 


 


Las, Charlie Schlingo est navré !


Les pompiers qui l'ont examiné chez lui, le 17 Juin 2005 ont dit qu'il était mort depuis quelques jours. J'ignore la date officielle retenue, mais en tout cas l'autopsie est formelle: les humoristes de BD tiennent toujours à finir impérativement par une chute, et la cause de son décès fut bien une chute. Sur une table basse.
Charlie ayant eu la polio quand il était gamin, voyez-vous, il avait parfois des merdes avec sa jambe polio-e, qui le lachait de temps en temps. A cause de sa "guibolle", comme il disait, il était déjà tombé souventes fois auparavant. Ce coup-là, sa tête a heurté une table basse en métal, très lourde, dans son salon, et pis alors après il est monté au ciel. Tranquille comme un ange: assommu, on ne se rend même pas compte qu'on est assommu...

 

 

Tiens, si vous voulez vous recueillir sur sa tombe, zyva, c'est au cimetière d'argenteuil de la rue rochefort. Comme d'hab, on est tous venus jeter gerbe après gerbe sur sa bière. Et sur la chanson idéale à mon avis, ma chanson préférée : Les Copains d'abord, de Brassens. Un excellent choix du père de Charlie, surnommé l'Hippo

 

 


 

PETITE ANNONCE

Rosse qui cherche si vous avez un album a lui revendre

 

 


 

Ode pour remercier Charlie des nuits mort de rire.
L'ode est ça:

En souvenir des nuits passées ensemble
aux Abbesses ou a Blanche,
à dire des conneries
au clair de la lune,
mon ami bièreau

Et Stephane et moi qui détestions l'alcool !

On buvait que de l'eau
Nous étions bons poteaux
Bons poteaux ...
mais poteaux potomanes

 

Grosagro


explication de texte:
on sortait plein de nuits, au St Jean à Abesses (18h), puis à Pigalle à la Cockey Tavern (minuit), puis à la Cloche d'or (3h), ou au Martial (5h). La première année, ni Stéphane ni moi n'aimions du tout l'alcool. Charlie, si, très, et incroyablement, il avait des plans de coups gratos pour parfois des milliers de francs de l'époque, par jour. Ou aolrs il payait des sommes ruineuses. J'ai vu les deux cas se produire. Anyhoo: je voulais juste replacer a bon escient deux onomatopées connes de Charlie: "bonpoto-bonpoto", et "poto-poto". Ayait, j'ai fait.



 

ah, et aussi, on est à ma connaissance plusieurs amis de Charlie à avoir révé de Charlie qui nous disait qu'il est ok, dans des pseudo-rêves vachement réalistes.
C'est un de ces super-pouvoirs secrets qu'ont les dessinateurs de BD; le défunt animé...

anyway, le bon vieux syndrome du "Elvis lives" lives again is here to stay not dead


 

 

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